La poutine à la Banquise
Premier contact avec la gastronomie québécoise et…I did it ! Chers amis, Arka s’en est allé au pays de la poutine, et, en grand guerrier qui n’a peur de rien, il a mangé une poutine. Résultat ? Mangeable, mais le plat est plutôt réservé aux hivers rigoureux qu’à la douceur de l’été montréalais. Des qualificatifs pour la décrire ? Gras, lourd, rassasiant, surprenant, sont ceux qui me viennent le plus facilement à l’esprit. Bon ? C’est déjà plus relatif.
Imaginez en effet une assiette (assez petite et ovoïde dans mon cas) pleine de frite qu’on aurait oublié quelques secondes dans l’huile, recouverte de morceaux de fromage (du cheddar, probablement) à moitié fondu, ni solide, ni liquide, et d’une sauce brune type sauce de viande. Le moins qu’on puisse dire est que l’ensemble est surprenant. Mais accompagné d’une bonne bière, c’est tout à fait acceptable. Et la mission essentielle du plat est aisément accomplie : on est rassasié, et pour longtemps. Voilà 6 heures que j’ai fini mon assiette, et j’ai toujours pas envie de grignoter, bien que je rentre d’un concert ! Mais bon, ce plat léger et digeste ne sera sans doute jamais dans mes 3 repas préférés.
Poutine mexicaine...pour varier les plaisirs !